Florence Nignon est Chargée de communication / Webmaster chez Vénétis depuis Septembre 2014. Initialement basée à Auray, Florence a demandé à être mutée à Nantes pour réaliser un projet personnel. Depuis mars 2016, elle profite de la vie nantaise et a intégré 2 nouveaux adhérents du GE* : Méca et le CREPS.
Florence Nignon est plus connue sous le pseudonyme de “Lady Breizh” du nom de son blog www.ladybreizh.bzh.
Bonjour Florence, peux-tu nous expliquer ton parcours de formation ?
Après un DUT Techniques de commercialisation et un master Marketing et communication des entreprises à la Business School de Brest, j’ai travaillé pendant deux ans comme Chargée de missions marketing et communication pour ARBOR Technologies, une PME qui conçoit des équipements pour les industries agroalimentaires. Suite à un licenciement économique, bloggeuse et passionnée par le Web, j’ai souhaité me perfectionner en effectuant une formation de Webmaster chez Formaouest.
Comment as-tu connu Vénétis ?
Suite à ma formation, je me suis lancée dans les recherches d’emploi. J’ai repéré une offre d’emploi pour un groupement d’employeurs qui cherchait une Chargée de communication pour plusieurs de ses adhérents. Après une discussion avec mon père, j’ai appris que ce système existait également à Vannes et c’est comme ça que j’ai découvert Vénétis.
La variété des missions et des entreprises me plaisait vraiment et j’étais sûre de correspondre aux valeurs du groupement. Après avoir postulé, j’ai rencontré Cécile Demarche, Responsable du Territoire Pays de Lorient et Auray pour Vénétis, et ça a “matché” : j’ai intégré la team Vénétis en Septembre 2014 comme Chargée de communication / Webmaster. Mes études, mon expérience chez ARBOR Technologies et mon blog (www.ladybreizh.bzh) ont su convaincre les adhérents Vénétis qui ont accepté de travailler avec moi.
Pour quelles entreprises adhérentes de Vénétis travailles-tu ?
Au départ, j’ai travaillé pour quatre adhérents : All Océan, CEPIM, GUELT et le Groupement de Baie de Quiberon et ses îles dans le Morbihan. Je m’occupais des réseaux sociaux, des mises à jour des sites web, des newsletters, des relations presse ainsi que de l’organisation d’événements internes et externes.
Suite à ma mutation à Nantes, j’ai intégré deux nouveaux adhérents : le Cluster Méca, un cabinet d’études techniques et mécaniques, et le CREPS des Pays de la Loire, le Centre de Ressources, d’Expertise et de Performance Sportive.
Au CREPS des Pays de la Loire, je mets à jour le site internet et la page Facebook, j’ai effectué une refonte complète de leur charte graphique, je crée les documents officiels de l’établissement (plaquettes, cartes de visite, catalogues…), j’aide les formateurs dans la création d’outils pour les aider à mieux communiquer, j’appuie les équipes lors des salons et journées portes-ouvertes…
Chez Méca, en plus de mettre à jour le site internet, je m’occupe des références clients, de leurs relations presse, j’ai aussi développé une nouvelle charte graphique en la déclinant sur leurs outils et également sur la porte d’entrée des bureaux sous forme de stickers géants. C’est une start-up, je les aide donc dans le développement de leurs nouveaux projets en les aidant à mieux communiquer.
Tu es la première salariée de Vénétis à avoir été mutée,
pour quelles raisons as-tu quitté Auray et comment s’est passée ta mutation ?
Suite à un projet de couple, je souhaitais déménager sur Nantes sans pour autant perdre mon travail qui me plaisait beaucoup. Sachant que Vénétis avait une antenne sur Nantes, j’ai rencontré Cécile Demarche et je lui ai parlé de mon projet. Malgré une légère réticence au départ, car une mutation ne s’était jamais faite en interne, elle était partante pour se lancer dans cette nouvelle aventure avec l’aval de Franck Delalande (Directeur Général de Vénétis) et de Claire Guézou, auparavant en charge du développement de l’antenne de Nantes.
Après avoir rencontré Claire et Ronan Le Neillon, en charge du développement de Saint-Nazaire, j’ai commencé à rencontrer des entreprises nantaises et ai intégré, depuis mars 2016, le Cluster Méca et le CREPS des Pays de la Loire.
Les premières semaines de ma mutation ont été compliquées car il a fallu que je concilie travail, recherche d’appartements et déménagement en très peu de temps. J’ai effectué de nombreux aller-retour entre Nantes et Auray, le temps de terminer mes missions chez mes adhérents morbihannais et de commencer mon temps partagé chez mes nouveaux adhérents nantais.
J’ai été bien accompagnée par toute l’équipe de Vénétis et grâce à la réactivité de chacun, je n’ai pas eu de coupure ni de diminution d’heures lors de ma mutation. Les premières semaines ont été fatigantes mais j’ai trouvé mon rythme. Aujourd’hui mon emploi du temps s’est régulé avec 2 adhérents nantais et le groupement de Baie de Quiberon et ses îles que je garde en télétravail sur la base de mon contrat de 4 heures par semaine.
Quels sont les avantages et les inconvénients du temps partagé ?
Travailler dans plusieurs entreprises demande une constante adaptabilité et beaucoup d’organisation. Néanmoins la routine n’est jamais là, les missions sont différentes et variées d’un adhérent à l’autre et, professionnellement parlant, c’est vraiment très enrichissant de travailler dans plusieurs secteurs d’activités.
Pour toi, que signifie le temps partagé ?
Pour moi la principale signification du temps partagé, c’est une routine inexistante ! Mais c’est aussi, un apprentissage multiplié, de nombreux collègues et un enrichissement permanent.
Que conseillerais-tu à quelqu’un qui hésiterait à se lancer dans le temps partagé ?
Si les débuts peuvent parfois être difficiles le temps de trouver un rythme entre les adhérents avec un temps plein, le jeu en vaut la chandelle car on intègre plusieurs équipes à la fois et un mode de vie peu commun. L’avantage, c’est que l’on a toujours quelque chose à présenter à ses proches car peu de gens aujourd’hui connaissent le temps partagé. Alors vous aussi devenez ambassadeur 😉