Cédric Breton, Directeur des Opérations pour la Holding Factory Tank à Larmor Plage, et nouvel administrateur de Vénétis, est un utilisateur de la mutualisation de compétences depuis longtemps.
Autour d’un café, et accompagné de Marine, salariée Vénétis en communication, il revient sur son expérience du temps partagé.
• Cédric Breton, pouvez-vous nous raconter votre expérience de Vénétis ?
La première fois que j’ai eu un salarié Vénétis, c’était lorsque j’étais encore chez IDMer, avec un gros besoin de révision du système qualité. Nous n’avions pas les moyens de recruter à temps plein. J’ai rencontré Florence, salariée Vénétis qui a remis le système qualité en place, et permis de relancer l’activité.
Puis il y a eu l’intégration de Margot, une RH intégrée 2 jours par semaine, qui a fait un énorme travail dans toute la structuration de l’entreprise.
Au sein de Factory Tank, nous avons aujourd’hui Bettina, Assistante de Direction, qui a passé un an en temps partagé avant de nous rejoindre à temps plein, et Marine, qui a rejoint l’équipe en avril sur des missions de Communication, 2 jours par semaine.
• Quels sont pour vous les intérêts de cette solution ?
Le temps partagé permet d’avoir accès à des valeurs ajoutées qui viennent enrichir la structure. Nous n’aurions pas l’occasion de rencontrer ce type de compétences seuls.
Les salariés apprennent beaucoup en temps partagé et ils ramènent leurs bonnes pratiques à l’entreprise.
Vénétis a une reconnaissance dans le milieu, le personnel proposé est compétent et nous pouvons en bénéficier. C’est valorisant de travailler avec Vénétis, cette confiance rehausse l’image extérieure de l’entreprise. Faire parti d’un groupement d’employeur, ça veut dire quelque chose.
C’est aussi un excellent levier de création de poste, avec la possibilité de recruter lorsque le besoin devient permanent.
Si on veut recruter les meilleurs, Vénétis est une arme.
• Que pensez-vous de nos zèbres ?
Ils sont hyper efficaces ! Les salariés Vénétis, en tout cas pour ma structure, travaillent en mode projet, ils ne sont pas là pour perdre du temps. On gagne en efficacité et en rentabilité. L’ouverture d’esprit n’est pas la même, c’est une bouffée d’air frais et un apport constant d’idées nouvelles.
Le petit plus : ce sont des gens sympas ! Le savoir être est clairement différent, ils ont tous la banane. Ils vont de l’avant et ont une hauteur de vue vis-à-vis de leur posture en entreprise, une curiosité différente. C’est du bonheur pour un chef d’entreprise.
Marine a réellement fait avancer la communication, elle a compris tout de suite les valeurs, et je n’ai pas besoin de contrôler son travail, elle est autonome.
• Vous êtes nouvel administrateur de Vénétis, pourquoi avoir dit “oui” ?
Parce que je suis fou 😊 Plus sérieusement, je suis brièvement rentré dans le Conseil d’Administration du temps d’IDmer. Il y a une sorte de frustration de ne pas avoir vu Vénétis grandir de l’intérieur. J’ai connu Vénétis avant, il y a beaucoup de changements, surtout avec la nouvelle offre de service qui arrive en 2020.
J’ai également plaisir à parler de Vénétis autour de moi. C’est un beau levier pour les autres entreprises du territoire.
J’ai aussi accepté pour Franck Delalande et Philippe Vitoria car ce qu’ils ont mis en place est un bel outil. J’ai envie d’en être acteur.
• Marine, de votre côté, comment vivez-vous votre temps partagé ?
Je le vis très bien ! Actuellement je suis épanouie dans les 2 entreprises dans lesquelles je travaille (Factory Tank et Innoclair), où j’ai de belles missions, et des projets à court, moyen et long termes. C’est intéressant pour moi d’avoir cette vision. Dans les 2 entreprises le poste est pérenne.
La phase d’intégration est toujours délicate, l’ambiance de travail est importante pour moi. Je suis attachée à mon temps partagé qui me permet de m’épanouir dans mon métier en travaillant en mode projet.
Les semaines passent très très vite ! Je m’adapte en permanence. Mes 2 entreprises sont très différentes et j’aime me mouvoir dans ces contextes et multiplier les missions, les interlocuteurs et les secteurs d’activités.
Les dirigeants me disent « je te paye pour que tu ne sois pas d’accord avec moi », Ils se servent de ma vision pour grandir, même si c’est eux qui décident. C’est rare d’avoir ce degré de confiance et d’autonomie en entreprise.
Merci à Cédric Breton et Marine pour leur disponibilité !